Président de la société suisse des officiers (SSO), le Vaudois Denis Froidevaux le répète: en dessous de 5 milliards, l’armée ne peut jouer son rôle. L’initiative populaire est prête.
Depuis son entrée en fonction, le Vaudois Denis Froidevaux est sur tous les fronts. Le premier président romand de la société suisse des officiers (SSO) entend faire de son institution un acteur du débat politique sur l’armée et la sécurité. Interview d’un brigadier de milice, qui au civil travaille dans la gestion de crise et des risques.
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